top of page

L'asexualité : qu'est-ce que c'est ?

L'asexualité : qu'est-ce que c'est ?

Dylan Patiram
Badge profil psychologue vérifié

Auteur :

Dylan Patiram

Psychologue Clinicien

Spécialisation TCC

Publication :

17 mai 2024

Mise à jour :

L'asexualité : qu'est-ce que c'est ?

9 min

Temps de lecture

Définition : l'asexualité désigne une orientation sexuelle où l'individu ne ressent pas d'attirance sexuelle envers autrui, indépendamment de leur genre ou apparence.


Ceux identifiés comme asexuels, ou "aces", n'éprouvent pas le désir de s'engager dans des actes sexuels.

Cette orientation ne les empêche toutefois pas d'éprouver de l'amour, du plaisir ou de tisser des liens affectifs. Être asexuel représente simplement une manière distincte d’expérimenter sa sexualité.


Contrairement aux idées reçues, l'asexualité diffère du célibat et de l'abstinence, qui relèvent de la décision personnelle, et non d'une absence naturelle de désir sexuel. Ainsi, l'asexualité n'est en aucun cas un trouble ou une pathologie.


Reconnue comme une orientation sexuelle à part entière, au même titre que l'hétérosexualité, l’homosexualité, ou la bisexualité, l'asexualité embrasse une vaste gamme d'expériences et d'identités. Cela inclut les demisexuels, qui peuvent ressentir une attirance sexuelle sous certaines conditions, telles qu'une connexion émotionnelle forte, les aromantiques, qui peuvent vivre des attirances romantiques sans désir sexuel, et les gris-asexuels, situés quelque part entre asexualité et allosexualité (ressentir de l'attirance sexuelle).

L'asexualité dans le spectre de la sexualité

L'asexualité dans le spectre de la sexualité

Photo de Cecilie Bomstad sur Unsplash

Une orientation comme une autre


L'asexualité se pose comme une orientation sexuelle parmi tant d'autres, ni supérieure, ni inférieure. Elle se distingue non pas comme une anomalie, une pathologie ou un choix délibéré, mais s'inscrit plutôt dans la riche mosaïque de la diversité humaine, réclamant à son égard respect et légitimité. Malheureusement, l'asexualité fait souvent l'objet de nombreux mythes et idées fausses, contribuant ainsi à sa stigmatisation et à son invisibilité.


Les mythes courants et fausses croyances


  • Les personnes asexuelles, souvent étiquetées comme frigides, impuissantes ou traumatisées - rien n'est plus faux. L'asexualité n'est pas synonyme d'un dysfonctionnement, d'une blessure cachée ou d'une quelconque crainte de l'intimité. Les asexuels ne ressentent simplement pas d'attirance sexuelle, mais cela ne les prive ni de sensations, ni d'émotions ou de fantasmes.

  • Une idée reçue prétend que les personnes asexuelles n'ont soit, jamais eu de rapports sexuels, soit n'ont pas encore trouvé le partenaire idéal - cette affirmation est erronée. L'asexualité transcende la notion d'expérience sexuelle ou de compatibilité avec un partenaire. L'expérience sexuelle antérieure d'une personne asexuelle, motivée par la curiosité, l'amour ou la pression sociale, ne détermine pas son orientation. De même, l'absence de rapports sexuels ne rend pas moins valide ou moins épanouie une personne asexuelle.

  • L'équation faite entre asexualité et dégoût ou rejet du sexe est incorrecte. L'indifférence, la curiosité, voire un intérêt pour l'aspect sexuel varient grandement parmi les asexuels. Pour eux, le sexe n'est ni une obligation, ni une interdiction, mais relève du choix personnel.

  • L'affirmation selon laquelle les personnes asexuelles seraient dépourvues de sentiments ou incapables de relations amoureuses est, encore une fois, fausse. Loin d'être synonyme d'un manque d'amour ou d'un retrait social, l'asexualité n'empêche ni les affections romantiques, ni les liens platoniques ou autres types de relations, avec ou sans dimension sexuelle. L'asexualité n'entrave en rien la faculté d'aimer, de s'attacher ou de s'investir dans une relation.

  • Le mythe voulant que les asexuels ne se livrent jamais à la masturbation ou qu'ils soient dénués de libido est totalement erroné. L'asexualité ne rime pas avec absence de plaisir ou de désir sexuel. Les pratiques masturbatoires, le niveau de libido et les sources de plaisir varient grandement d'un individu asexuel à l'autre. Masturbation et libido ne sont pas les baromètres d'une orientation sexuelle, mais des aspects variés de la sexualité individuelle.


Ce faisceau de mythes et d'erreurs de jugement provient d'une société qui élève le sexe au rang de norme et d'exigence, tout en méconnaissant ou méprisant les autres modalités d'expérience sexuelle. Ces idées reçues sont source de discrimination et de malentendu envers les asexuels, souvent confrontés à des interrogations déplacées, à des commentaires blessants ou à des démarches de "guérison" non sollicitées. Il est primordial de démanteler ces croyances pour les remplacer par des informations justes et respectueuses, célébrant ainsi la diversité sexuelle dans toute sa richesse.

Les différents types d'asexualité

Les différents types d'asexualité

Photo de Andreas Gücklhorn sur Unsplash

Asexualité complète et asexualité grise


Quand on parle d'asexualité complète, aussi connue sous les termes asexualité stricte ou totale, on fait référence à ceux et celles qui ne perçoivent jamais d'attraction sexuelle, sans exception. Pour eux, le sexe n'est pas une composante nécessaire à leur épanouissement.


Cette forme d'asexualité est souvent vue comme l'expression la plus "pure" ou "extrême" de ce spectre, même si elle ne représente pas la majorité ou l'image la plus commune.

Ensuite, l'asexualité grise, ou graysexualité, occupe cette zone floue entre l'asexualité pleine et l'allosexualité (soit le fait de ressentir de l'attraction sexuelle).


Ceux qui s'identifient comme graysexuels peuvent vivre de l'attraction sexuelle, mais de façon sporadique, modérée, changeante ou dépendante de conditions spécifiques. L'asexualité grise sert de chapeau pour inclure diverses nuances, telles que la demisexualité, la lithsexualité ou encore la recipsexualité.


Demisexuel : Quand l'attraction sexuelle nécessite un lien émotionnel fort


La demisexualité se dépeint comme une nuance de l'asexualité grise, caractérisée par le besoin d'établir un lien émotionnel profond avant de pouvoir éprouver de l'attraction sexuelle. Pour les demisexuel.les, l'attirance ne se base pas sur l'apparence physique mais bien sur l'écho de la personnalité, le charme du caractère ou la connexion spirituelle.


Il est crucial de noter que la demisexualité n'est pas une option ou une préférence personnelles, mais bien une orientation sexuelle, qui n'est pas plus liée à la timidité, à une crainte de s'impliquer ou à des principes moraux.


Il est courant de confondre la demisexualité avec la romantique, cette dernière faisant référence au désir de tisser un couple ou une relation amoureuse. L'attraction romantique et sexuelle, bien que différentes, peuvent s'accorder ou exister séparément.


Certains sont à la fois demisexuels et romantiques, alors que d'autres peuvent être demisexuels et aromantiques, signifiant qu'ils ne ressentent pas d'attraction romantique.

Comment identifier l'asexualité en soi ou chez les autres

Comment identifier l'asexualité en soi ou chez les autres

Photo de Kenny Eliason sur Unsplash

Comprendre son propre rapport à la sexualité


Se lancer en quête de son orientation sexuelle commence par un dialogue intérieur : écoute de ses désirs, besoins, et perspectives sur la sexualité. Envisager des questions telles que :

  • Ressenti de l'attraction sexuelle : est-elle présente ? Si oui, dirigée vers qui ? Si non, pourquoi ?

  • Expérience du désir sexuel : est-il ressenti ? Si oui, comment est-il vécu ? Si non, comment cela s'explique-t-il ?

  • Aspiration à des relations sexuelles : est-elle là ? Si oui, dans quelles circonstances et avec qui ? Si non, quels en sont les freins ou les déplaisirs ?

  • Identification au terme d'asexualité : se reconnaît-on ? Pourquoi ou pourquoi pas ?

Pas de bonnes ou de mauvaises réponses, juste un chemin de compréhension et d'acceptation de soi. Importe peu la rapidité d’affixation d’une étiquette ; explorer, évoluer, ou changer d'avis reste une voie ouverte. Ce qui compte, c’est de se sentir en paix avec sa sexualité, dans toute sa diversité.


Respecter le ressenti et les limites des autres


Desceller l'asexualité d’autrui engage au respect de ses expériences et limites en matière de sexualité. Sans code secret ou comportement typique, reconnaître une personne asexuelle peut s'avérer complexe.

Ainsi, voici des gestes fondamentaux pour accompagner avec respect les asexuels et leur orientation :

  • Eviter des questions intrusives ou indiscrètes sur leur intimité, sauf invitation claire.

  • Refréner tout harcèlement, insulte, moquerie ou discrimination liés à leur manque d'intérêt sexuel.

  • Se garder de toute tentative de conversion, de « guérison » ou de dénégation de leur asexualité, non synonyme de déficience ou de problème.

  • Respecter leur identité sans les infantiliser, pathologiser, ignorer ou nier en tant qu'orientation valable.

  • Interdire toute forme de coercition, manipulation, violence ou agression sexuelle, en toutes circonstances.

En résumé, il s'agit d'adopter une posture empreinte d'ouverture, de tolérance, de bienveillance et de consentement à l'égard des asexuels, et de chacun, sans exception. L'asexualité, orientation sexuelle reconnue, enrichit la mosaïque de la diversité humaine et réclame respect et validation.

Le vécu des personnes asexuelles

Le vécu des personnes asexuelles

Photo de Artem Labunsky sur Unsplash

Les défis dans un monde hypersexualisé


L'asexualité, bien plus qu'une simple orientation sexuelle, confronte les individus à une série de défis dans un univers où le sexe occupe une place prépondérante et est fréquemment exalté. Face à l'incompréhension et parfois à la stigmatisation venant de la société, de la famille, des amis et des partenaires, les personnes asexuelles luttent pour se faire une place.


Elles aspirent à construire leur identité, à s'épanouir, à établir des relations, amoureuses ou non, qui correspondent à leurs aspirations et besoins. 🌈 Heureusement, la solidarité se manifeste à travers des communautés et réseaux offrant soutien, reconnaissance et information.


Nous évoluons dans un monde hypersexualisé où le sexe est omniprésent - dans les médias, la publicité, la culture, signifiant souvent réussite, santé, amour. ✨ Dans ce contexte, les personnes asexuelles font face à :

  • Une invisibilité qui mène à l'isolement et à la marginalisation. 👀

  • Un déficit d'information et de sensibilisation entraînant préjugés et stéréotypes. 📚

  • Un manque de respect et de tolérance générant discrimination et rejet. ❌

  • Une difficulté d'acceptation de soi, pouvant aboutir à confusion et mal-être. 🧩

Pour surmonter ces obstacles, s'affirmer, se protéger, et chercher le soutien mutuel sont essentiels pour les personnes asexuelles.


L'asexualité et les relations amoureuses


L'asexualité n'entrave pas la formation de relations amoureuses basées sur différents types d'attirances. ❤️ L'attirance sexuelle et l'attirance romantique sont deux facettes distinctes, permettant aux personnes asexuelles de former des liens homoromantiques, hétéroromantiques, biromantiques, panromantiques, ou de s'identifier comme aromantiques.

Ces relations peuvent être diverses, axées sur l'affection, la tendresse, et d'autres formes d'intimité, respectant les besoins et limites de chacun.

Distinction entre asexualité et aromantisme

Distinction entre asexualité et aromantisme

Photo de Aziz Acharki sur Unsplash

Différences clés et zones de superposition


Dans le spectre des orientations sexuelles, l'asexualité et l'aromantisme se présentent comme deux notions distinctes, bien qu'elles partagent un point commun : l'absence d'attirance. Une subtile mais fondamentale distinction sépare l'asexualité, caractérisée par l'absence d'attirance sexuelle, de l'aromantisme, où c'est l'attirance romantique qui est absente. Trop souvent confondues ou mal comprises, ces orientations bousculent les perceptions traditionnelles de la sexualité et de la romance.

Il est crucial de les identifier et de les reconnaître comme des identités uniques, pouvant se manifester ensemble ou séparément.


La principale différence entre l'asexualité et l'aromantisme réside dans le type d'attirance absent. Si l'asexualité concerne le désir sexuel, soit l'envie d'avoir des relations sexuelles avec autrui, l'aromantisme, lui, fait référence à l'absence de désir de tisser des liens romantiques ou de nouer des relations amoureuses.


Cette distinction ne signifie pas une séparation stricte, car l'asexualité et l'aromantisme peuvent se croiser chez certaines personnes, surnommées les aroaces, qui ne ressentent ni attirance sexuelle ni romantique. D'autres peuvent être asexuelles mais pas aromantiques, vivant sans attirance sexuelle tout en éprouvant des sentiments romantiques (hétéroromantiques, homoromantiques, etc.). À l'inverse, des individus sont aromantiques sans être asexuels, ressentant une attirance sexuelle sans le désir de liens romantiques.


Cette intersection abrite également ceux qui se situent dans des zones plus nuancées du spectre : les gris-asexuels ou gris-aromantiques et les démisexuels ou démiromantiques, ressentant de l'attirance sous certaines conditions spécifiques, par exemple, après le développement d'un lien émotionnel profond. D'autres, ne se reconnaissant pas dans ces catégorisations binaires, optent pour des définitions plus fluides comme queer ou neutres.


L'importance de l'identité individuelle au-delà des étiquettes


L'importance de l'identité individuelle au-delà des étiquettesLes termes asexualité et aromantisme servent de balises pour celles et ceux qui s'y retrouvent, facilitant l'identification, la revendication, et offrant un sentiment d'appartenance et de visibilité à des orientations souvent marginalisées. Ils jouent un rôle crucial dans le dialogue autour de la diversité sexuelle et de genre, aidant à réduire l'isolement et la marginalisation.


Néanmoins, ces étiquettes ne sauraient figer l'identité dans un cadre rigide ou imposer un modèle universel. Elles restent modulables, ajustables selon le vécu et les choix personnels, témoignant de la richesse et de la complexité de l'expérience humaine. Chaque individu est libre de définir ou redéfinir son identité, soulignant ainsi l'importance de respecter le parcours et les choix de chacun, au-delà des simples appellations.

L'asexualité dans la culture et les médias

L'asexualité dans la culture et les médias

Photo de Bank Phrom sur Unsplash

Représentation et visibilité


L'asexualité, une orientation sexuelle longtemps restée dans l’ombre culturelle et médiatique, peine à se frayer un chemin vers une reconnaissance dans les diverses formes d'expression artistique et médiatique. Pourtant, malgré une présence souvent bordée de clichés, d'incompréhensions ou de représentations controversées, une lueur d'espoir émerge grâce à une visibilité croissante pilotée par des actions militantes, des œuvres inédites et des partages d'expériences personnelles.

Comment cette évolution prend-elle forme au sein de nos sociétés, et quels défis et perspectives cela implique-t-il ?


Être représenté et visible est crucial pour la communauté asexuelle ; cela représente un pas de plus vers l'acceptation, l'éducation, la sensibilisation et l'intégration sociale. La présence d'individus asexuels ou de personnages fictifs partageant cette orientation dans les supports culturels et médiatiques permet aux concernés de :

  • Découvrir leur propre identité et communauté, réalisant qu’ils ne sont pas isolés mais font partie d’un ensemble plus vaste, riche d’une histoire propre et de valeurs partagées.

  • S'informer et s’éduquer sur ce qu'implique l'asexualité, à travers la connaissance des terminologies, des expériences vécues, et l'accès à des ressources diversifiées.

  • Affirmer et valoriser leur identité, en célébrant leur existence, leur fierté, leurs droits, leurs talents et leurs contributions uniques à la société.

  • Gagner en visibilité et respect au sein du grand public, en démystifiant l'asexualité, en exposant sa richesse et sa diversité, et en confrontant les préjugés et discriminations.

Néanmoins, cette quête de représentation et visibilité entraine son lot de défis et de risques, notamment :

  • La confrontation à des normes et des modèles restrictifs ou dénigrants, qui stigmatisent ou minimisent leur vécu.

  • La nécessité de se justifier et s’expliquer face à un entourage parfois intrusif ou hostile.

  • La lutte contre des représentations et des discours erronés, qui caricaturent ou dénaturent ce que signifie être asexuel.

  • Le défi de se détacher de stéréotypes réducteurs pour promouvoir une vision plus juste et nuancée de l'asexualité.

La mise en avant de l'asexualité dans le domaine culturel et médiatique devient alors une opportunité mais aussi une responsabilité. Il s’agit d’assurer une représentation positive, variée, authentique et respectueuse, reflétant fidèlement les réalités et les singularités des personnes asexuelles.


Comment la perception de l'asexualité évolue-t-elle ?


Grâce à une représentation grandissante mais également grâce à des avancées dans la recherche, des mouvements sociétaux et des témoignages personnels, la perception publique de l'asexualité se transforme. Cette orientation sexuelle commence à être entendue et appréciée pour ce qu'elle est : une facette légitime et respectée de la diversité humaine, éloignée des clichés réducteurs de dysfonctionnement ou de choix volontaire.


Toutefois, ce chemin vers la reconnaissance est complexe et non uniforme, traversé de malentendus et de discriminations persistantes. De plus, au sein même de la communauté asexuelle, des discussions, divergences d’opinions et remises en question foisonnent, témoignant de sa richesse et de sa dynamique propre.


La perception de l'asexualité s'inscrit donc dans un élan évolutif, ouvert et multiforme, reflétant une vaste palette de visions, d’expériences, d’identités et d’aspirations. Elle dessine une histoire en mouvement, faite de progrès et de défis, de dialogues et d’innovations, qui continue de s'écrire aujourd'hui et demain.

Conclusion

Conclusion

Photo de Fab Lentz sur Unsplash

Dans l’odyssée de cet article, nous avons éclairé les lanternes sur ce qu’est véritablement l’asexualité - une orientation sexuelle où l’attraction sexuelle vers autrui semble jouer à cache-cache. 🕵🏻‍♂️ Nous avons découvert que l’asexualité peint un tableau riche et varié de couleurs et de nuances, abritant une mosaïque de types et d’expériences.


Faisant face à un monde où le sexe est souvent sur un piédestal, l’asexualité navigue à travers des vagues de défis et d’enjeux particuliers, criant pour un besoin de reconnaissance, d’écoute, et de soutien solidaires.


Cependant, loin d’être un chemin semé d’embûches seulement, l’asexualité se révèle être une fabuleuse source de créativité et de mobilisation, peignant ses propres révolutions dans les panoramas culturels et médiatiques.


Être asexuel, c’est naviguer sur une mer méconnue qui mérite vraiment qu’on plonge dans ses profondeurs pour en explorer toutes les richesses. Que vous vous voyiez dans le prisme de l’asexualité, ou que vous soyez simplement curieux ou un allié désireux de comprendre, nous vous tendons la main pour vous inviter à vous documenter, à vous affirmer, à vous rassembler et à porter haut vos couleurs. Pour cela, plongez dans les ressources et réseaux spécifiques que nous avons esquissés dans cet article.


Ne gardez pas cet article pour vous ! Partagez-le avec votre entourage, amis, partenaires pour ouvrir les yeux sur l’asexualité et partager votre perspective. Ensemble, faisons résonner l’écho de l’asexualité comme une orientation sexuelle reconnue et respectée, et travaillons pour un monde où les personnes asexuelles sont accueillies avec joie et épanouissement.

bottom of page